mardi 27 août 2013

Retour vers le futur....jardin

     Depuis presque toujours, je me passionne pour les jardins. A ce jour, j’en ai créé 3 entièrement et 2 partiellement. Le premier, sur une parcelle de 470 m2, m’avait donné de telles satisfactions que…j’ai déménagé pour un grand terrain de 1300 m2. C’était splendide mais j’ai dû le quitter au bout de trois ans… Puis, j’ai conçu partiellement 2 autres jardins dont 1 avec des difficultés d’accès et une exposition épouvantable !  c’était là :
jardin trèèèèèèèèèèèèèèèèèès contraignant


Le jardin que j’habille en ce moment est de loin celui qui me stimule le plus : 1000 m2 où tout est à faire. Pour mémoire, les explications de l’histoire commencent ici

En octobre 2011, après quelques échauffements sur le massif de l’entrée où j'opère quelques retouches,

je donne le premier vrai coup de bêche lors de la création d’une plate-bande qui dissimulera les maisons voisines bien trop visibles depuis le jardin



2011

2011
A cette période, courbatures et multiples ampoules sur les mains deviennent mon lot quotidien mais aujourd’hui, j’ai des muscles en béton (hep là-bas au fond, on ne ricane pas s’il vous plaît !) une forme d’athlète (le prochain qui pouffe sera sévèrement sanctionné….) et des lumières dans les yeux  lorsque je vois ça :

D'ici 3 ans, les maisons voisines ne seront plus visibles du jardin


 ou ça :
en 2013

Emportée par mon élan frénétique de créations jardinesques, j’enchaîne par cette plate-bande 
automne 2011
printemps 2013


cache-misère 2011

Dès lors, plus rien ne peut m'arrêter. Ces premières transformations du jardin mais aussi le galbe de mes jambes (pffff impossible de remettre la main sur les photos avant/après), m'incitent à entreprendre la construction de plessis, paravent ou tuteurs ; je l’avoue, au début je fais ça car les déchets des différentes tailles ne rentrent pas dans ma voiture. Puis j'y prends franchement goût... Et naturellement, comme ce n’est pas une activité sans risque, je m’éclate le nez en taillant des branches de mûrier sous une pluie battante. Je m’enrhume aussi. Mais je m’acharne car ces claustras planqueront bientôt le bac à compost et tout le bazar de jardinier


automne 2011


printemps 2013


                             





cache-misère 2013



Pendant que mon nez cicatrise, je passe le relais à L’Homme qui réalise un mini-potager dont l’entrée est matérialisée par une pergola du  commerce, unique concession au dégainage de chéquier pour les « décors » du jardin.  Je garde mes pépètes pour les investissements en végétaux mais je vous en reparlerai plus tard de tous ces végétaux.    
                         
potager automne 2011
automne 2011
Dans ce coin-là aussi, je ne peux m’empêcher d’agiter mes bras maintenant dignes de ceux d’une bodybuildeuse. La prochaine étape prévue pour octobre 2013, c’est l'arrivée d'un nouveau grand massif...doublé d'abdominaux presque irréprochables ! Je vous ferai suivre tout ça pas à pas ...

automne 2012
printemps 2013



                 





A très bientôt !

La jardinière en herbe culturiste

10 commentaires:

  1. Sport et loisir, je tenais à vous soutenir. Bravo et bonne continuation.

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  2. Bravo la jardinière ! Pordi

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  3. Style très libre et très personnel mais tellement chaleureux ! Bonne continuation !
    Rasputin

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  4. Mille mercis pour vos commentaires si positifs ! ça me motive encore ...si besoin était ; )

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  5. Je me promène sur votre blog, et mesure l'écart entre avant et maintenant. Eh bien bravo !!!!!!!
    Mickeline

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  6. J'ai effectivement loupė cet article. Bon il manque la photo de tes muscles lol. En tout cas je veux bien te croire, j'ai des biceps en béton avec le jardin.
    Quelle évolution, et je sens bien qu'on en a pas encore fini toutes les 2 ;-)

    J'adore la photo de ton jardin précédent. Exposition ingrate, certes mais resultat magnifique.
    Gros gros bisous ma chère Aline!

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    1. Ahlala, si tu savais comme le jardin contraignant m'a laissé de mauvais souvenirs...il y avait une superbe vue car il était en hauteur mais pour charrier des plantes, fallait monter une quarantaine de marches dans des passages très étroits : une torture en somme :-) J'ai été si heureuse de partir de là, expos plein nord qui nous privait TOTALEMENT de soleil du 10 novembre au 15 février (oui, j'ai les dates exactes en mémoire ; un traumatisme :-D). Pour les biceps, hélas, ils fondent avec l'âge même si on les cultive...mais je ne renonce JAMAIS :-D. Je t'embrasse très très fort ma Caro !

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  7. dit moi tout, qu'utilise tu comme murier pour faire tes claustras, ça m'intéresse ça et pas qu'un peu, je suis toute ouie ;-)
    ton style et ton verbiage sont parties intégrantes de l'histooire de ton jardin et de ton blog, je suis toujours gaie lorque je ferme la page, tu y explique tout avec tellement d'humour qu'on ne peut pas rester indifférente
    Merci pour ces jolis moments
    des bisous

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    1. Christine, t'es adorable ! Tes compliments vont me faire gonfler les chevilles qui étaient pourtant restées bien fines après tout ce sport horticole :-)
      Pour les claustras, j'ai simplement utilisé les bois de taille de l'année du vieux mûriers blanc. Comme je n'en avais pas assez, j'ai aussi pioché dans les branches les plus fines et droites du platane. Tout ça m'a évité, comme tu l'as lu, des voyages bien chiants à la déchetterie ou encore l'achat de panneaux de bois/paravent. Comme structure de soutien, tu peux utiliser du bambou ou mieux, du fer à béton. Si tu veux te lancer et que tu bloques sur un truc, n'hésite pas à me solliciter ! Plein plein de gros bisous et à samedi pour la photo de l'orchidée :-)

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