Depuis presque toujours, je me passionne pour les
jardins. A ce jour, j’en ai créé 3 entièrement et 2 partiellement. Le premier,
sur une parcelle de 470 m2, m’avait donné de telles satisfactions que…j’ai
déménagé pour un grand terrain de 1300 m2. C’était splendide mais j’ai dû le
quitter au bout de trois ans… Puis, j’ai conçu partiellement 2 autres jardins dont
1 avec des difficultés d’accès et une exposition épouvantable ! c’était là :
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jardin trèèèèèèèèèèèèèèèèèès contraignant |
Le jardin que j’habille en ce moment est de loin celui qui me
stimule le plus : 1000 m2 où tout est à faire. Pour mémoire, les explications de l’histoire commencent ici
En octobre 2011, après quelques échauffements sur le massif
de l’entrée où j'opère quelques retouches,
je donne le premier vrai coup de bêche lors de la
création d’une plate-bande qui dissimulera les maisons voisines bien trop
visibles depuis le jardin
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2011 |
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2011 |
A cette période, courbatures et multiples ampoules sur les
mains deviennent mon lot quotidien mais aujourd’hui, j’ai des muscles en béton (hep
là-bas au fond, on ne ricane pas s’il vous plaît !) une forme d’athlète
(le prochain qui pouffe sera sévèrement sanctionné….) et des lumières dans les
yeux lorsque je vois ça :
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D'ici 3 ans, les maisons voisines ne seront plus visibles du jardin |
ou ça :
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en 2013 |
Emportée par mon élan frénétique de créations jardinesques,
j’enchaîne par cette plate-bande
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automne 2011 |
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printemps 2013 |
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cache-misère 2011 |
Dès lors, plus rien ne peut m'arrêter. Ces premières transformations du jardin mais
aussi le galbe de mes jambes (pffff impossible de remettre la main sur les
photos avant/après), m'incitent à entreprendre la construction de plessis,
paravent ou tuteurs ; je l’avoue, au début je fais ça car les déchets des
différentes tailles ne rentrent pas dans ma voiture. Puis j'y prends franchement goût... Et naturellement, comme ce n’est
pas une activité sans risque, je m’éclate le nez en taillant des branches
de mûrier sous une pluie battante. Je m’enrhume aussi. Mais je m’acharne car
ces claustras planqueront bientôt le bac à compost et tout le bazar de
jardinier
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automne 2011 |
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printemps 2013 |
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cache-misère 2013 |
Pendant que mon nez cicatrise, je passe le relais à L’Homme qui réalise un
mini-potager dont l’entrée est matérialisée par une pergola du commerce, unique
concession au dégainage de chéquier pour les « décors » du jardin. Je garde mes pépètes pour les investissements
en végétaux mais je vous en reparlerai plus tard de tous ces végétaux.
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potager automne 2011 |
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automne 2011 |
Dans ce coin-là aussi, je ne peux m’empêcher d’agiter mes
bras maintenant dignes de ceux d’une bodybuildeuse. La prochaine étape prévue pour octobre 2013, c’est l'arrivée d'un nouveau grand massif...doublé d'abdominaux presque irréprochables ! Je vous ferai suivre tout ça pas à pas ...
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automne 2012 |
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printemps 2013 |
A très bientôt !
La jardinière en herbe culturiste
Sport et loisir, je tenais à vous soutenir. Bravo et bonne continuation.
RépondreSupprimerBravo ! Bon boulot !
RépondreSupprimerBravo la jardinière ! Pordi
RépondreSupprimerStyle très libre et très personnel mais tellement chaleureux ! Bonne continuation !
RépondreSupprimerRasputin
Mille mercis pour vos commentaires si positifs ! ça me motive encore ...si besoin était ; )
RépondreSupprimerJe me promène sur votre blog, et mesure l'écart entre avant et maintenant. Eh bien bravo !!!!!!!
RépondreSupprimerMickeline
J'ai effectivement loupė cet article. Bon il manque la photo de tes muscles lol. En tout cas je veux bien te croire, j'ai des biceps en béton avec le jardin.
RépondreSupprimerQuelle évolution, et je sens bien qu'on en a pas encore fini toutes les 2 ;-)
J'adore la photo de ton jardin précédent. Exposition ingrate, certes mais resultat magnifique.
Gros gros bisous ma chère Aline!
Ahlala, si tu savais comme le jardin contraignant m'a laissé de mauvais souvenirs...il y avait une superbe vue car il était en hauteur mais pour charrier des plantes, fallait monter une quarantaine de marches dans des passages très étroits : une torture en somme :-) J'ai été si heureuse de partir de là, expos plein nord qui nous privait TOTALEMENT de soleil du 10 novembre au 15 février (oui, j'ai les dates exactes en mémoire ; un traumatisme :-D). Pour les biceps, hélas, ils fondent avec l'âge même si on les cultive...mais je ne renonce JAMAIS :-D. Je t'embrasse très très fort ma Caro !
Supprimerdit moi tout, qu'utilise tu comme murier pour faire tes claustras, ça m'intéresse ça et pas qu'un peu, je suis toute ouie ;-)
RépondreSupprimerton style et ton verbiage sont parties intégrantes de l'histooire de ton jardin et de ton blog, je suis toujours gaie lorque je ferme la page, tu y explique tout avec tellement d'humour qu'on ne peut pas rester indifférente
Merci pour ces jolis moments
des bisous
Christine, t'es adorable ! Tes compliments vont me faire gonfler les chevilles qui étaient pourtant restées bien fines après tout ce sport horticole :-)
SupprimerPour les claustras, j'ai simplement utilisé les bois de taille de l'année du vieux mûriers blanc. Comme je n'en avais pas assez, j'ai aussi pioché dans les branches les plus fines et droites du platane. Tout ça m'a évité, comme tu l'as lu, des voyages bien chiants à la déchetterie ou encore l'achat de panneaux de bois/paravent. Comme structure de soutien, tu peux utiliser du bambou ou mieux, du fer à béton. Si tu veux te lancer et que tu bloques sur un truc, n'hésite pas à me solliciter ! Plein plein de gros bisous et à samedi pour la photo de l'orchidée :-)