Attention, malgré son titre tout petit, je vous sers un article taille XXL ! D'avance, je vous prie de m'en excuser.
Si mon ultime billet 2014 s'intitulait tout bêtement "Le dernier mot", mon premier écrit 2015 aurait pu s'appeler "Les premiers maux". Vous allez comprendre : il ne fait pas très chaud, on ne peut pas faire grand chose dans le jardin et il faut quand même se mettre au vert après les temps de fêtes #réveillons/noël/an conjuguées avec l'auxiliaire Excès (quoique très légers pour moi : 2 grammes à tout casser sans toucher le volant). Bref, janvier est l'occasion rêvée pour parfaire sa culture en botanique et tout particulièrement sur les règles d'accord des noms de plantes. En effet, au même titre que j'ai du mal avec le masculin féminin de certains noms de végétaux, je rame également avec les accords en nombre et avouez que ça la fout mal quand on prétend écrire sur le sujet. Mes lointaines leçons d'écolière, où j'ai docilement appris à terminer les mots par s ou x au pluriel, brouillent aujourd'hui toutes mes rédactions de jardinière. Évidemment, je pourrais me contenter de cultiver des crocus, des eucalyptus, des cactus ou bien planter un exemplaire unique des autres végétaux pour ne pas être emmerdée à l'écrit. Oui, mais vouala, ma réalité est tout autre... Et c'est la toile qui m'a filée des extraits d'articles qui ont un peu éclairé ma lanterne ; je copie-colle ici :
Source : ICI
Ce qu'il faut retenir c'est que :
Le nom d’un genre s'écrit toujours avec une majuscule et toujours sans
"s" au pluriel. Considérez que c'est comme un nom de famille - on
écrit les Dupont et non les Duponts... Il en va de même avec tous les taxons
("groupes") de rang supérieur au genre. Bref, tous les mots (taxons)
d'un nom scientifique jusqu'au genre inclus portent une majuscule
obligatoirement et tous ceux qui sont de rang inférieur sont en minuscule,
c'est facile...
La partie du nom qui correspond à l'espèce (ce que l'on appelle l'épithète)
ne s'écrit JAMAIS AVEC UNE MAJUSCULE.
Le nom des variétés (ou des formes) sauvages non plus, ne prend JAMAIS DE
MAJUSCULE.
Le nom d'une variété de culture (cultivars) prend TOUJOURS UNE MAJUSCULE AU
CONTRAIRE, c'est obligatoire car cela fonctionne comme un nom propre, pour ne
pas dire une marque. C'est justement cela dans l'absolu qui permet de
ne pas confondre.
Une règle pleine de bon sens du français veut que les mots étrangers soient francisés, de manière à ne pas nous condamner à apprendre toutes les inflexions linguistiques étrangères. Ainsi il faut dire "des mafiosos" et non "des mafiosi", pourtant le pluriel en italien. Donc, nous devrions écrire "Les heterophyllas ont subi une mutation qui les privent de pigment rouge" et non "Les heterophylla ont subi..." car nous parlons en français et non en latin ! il ne s'agit pas d'un nom de genre invariable et avec majuscule mais d'un simple adjectif étranger, substantivé ici. Les Académiciens conseilleraient sans doute même "Les hétérophyllas" avec les accents correspondants à la prononciation mais il y a aussi la règle d'usage qui prime et s'il est obligatoire de mettre un "s" au pluriel (sauf s'il y en déjà un ou l'équivalent "z" et "x") ce n'est pas le cas pour l'ajout des accents...
Une règle pleine de bon sens du français veut que les mots étrangers soient francisés, de manière à ne pas nous condamner à apprendre toutes les inflexions linguistiques étrangères. Ainsi il faut dire "des mafiosos" et non "des mafiosi", pourtant le pluriel en italien. Donc, nous devrions écrire "Les heterophyllas ont subi une mutation qui les privent de pigment rouge" et non "Les heterophylla ont subi..." car nous parlons en français et non en latin ! il ne s'agit pas d'un nom de genre invariable et avec majuscule mais d'un simple adjectif étranger, substantivé ici. Les Académiciens conseilleraient sans doute même "Les hétérophyllas" avec les accents correspondants à la prononciation mais il y a aussi la règle d'usage qui prime et s'il est obligatoire de mettre un "s" au pluriel (sauf s'il y en déjà un ou l'équivalent "z" et "x") ce n'est pas le cas pour l'ajout des accents...
Z'avez mal aux cheveux après avoir lu tout ça ? Normal, le champagne des fêtes plurielles est long à éliminer... Hum, c'est vrai que je suis singulièrement sadique en ce début d'année mais faut s'habituer à ces subtilités d'écriture. Tenez, par exemple connaissez-vous le pluriel de "bière" ? c'est "des haltères" ou encore "un amour toxique" ? c'est "des zemmours nocifs" ou alors "une morano" ? "des misères intellectuelles" (double subtilité ici puisqu'il s'agit aussi d'un pléonasme) et enfin ..."un bond" ? "des buts". Oui, le bon début, c'est maintenant !
Avec quelques vues du jardin en janvier :
14 janvier et toujours fleuri : l'agathea est aussi appelée Aster d’Afrique ou Aster du Cap ou encore pâquerette bleue |
Idem pour l'Anisodontea : toujours fleuri |
Bruyère inconnue ; tout comme le joli petit arbuste rapporté de Savoie par Henri et dont vous apercevez les dernières feuilles flamboyantes... |
Une colombe ou autre... |
Bleuets des montage (ou Centaurea) fleuris depuis décembre... |
Les pervenches démarrent |
J'ai mis quelques bulbes de crocus et autres dans tout le jardin en automne mais je sais plus exactement où ; ils se chargent de se rappeler à mon bon souvenir |
Les plus vieux rosiers fleurissent encore
Tonton va bien et fleurit sans arrêt (Lavendula dentata) |
Impudique rosier tout nu qui exhibe son unique fleur flashy |
Je suis impatiente de voir ces petits moutonnements de santolines et lavandes remplir les espaces... |
A une prochaine fois...
moins chiante pédagogiquement parlant !
moins chiante pédagogiquement parlant !
La jardinière en herbe single ou cinglée, c'est selon...
J'adore venir faire un tour sur ton blog, ma Aline ! Tu dégages tellement d'énergie, de joie de vivre et d'humour que c'est toujours un régal de te lire. Et ne t'excuses pas pour la longueur de ton billet, ceux qui ne veulent pas lire n'ont qu'à regarder tes jolies photos ! Merci pour cette parenthèse pleine de gaîté. Je t'embrasse bien fort.
RépondreSupprimerVoui ma Karine, l'avantage de ne plus faire les soldes, c'est qu'il me reste du temps et de l'énergie pour faire joujou sur mon blog :-) la classe hein ! et si en plus, tu viens poser ta patte ici, ça me donne encore plus la patate ! Gros gros bisous ma Belle !
SupprimerMoi qui ait pourtant l'habitude avec la pousse jardinière de parler le patois fleural, tu m'as foutu un mal de crâne carabinée, ou alors c'est un début de grippe.
RépondreSupprimerJe m'en vais soigner ceci avec un bon grog et de quoi mettre dedans... pas pour les fainéants et me lover sous la couette.
Bon je te bise bien fort et te dis a bientôt
P.S. C'est comment qu'on écrit grog au multiple ?
Sabina
Oh désolée pour le mal de tête Sabina !!! Mais ça va continuer : sache que grog ne s'écrit JAMAIS au pluriel car lorsque tu en as bu plusieurs, t'es bourrée et tu peux plus écrire...Simple non ? :-) Je te fais de grosses bises en rhum et ... et en vert aussi !
SupprimerComme toujours, tu m'as bien fait rire !
RépondreSupprimerEt pour le nom des plantes, au singulier ou au pluriel, ne t'en fais pas, on est pas botanistes donc avec ou sans majuscules ou s ont comprend toujours de quoi tu parles.
Bises
Si tu savais comme j'apprécie ton indulgence Sylvaine... un vrai soulagement :-) Je crois en effet qu'une sorte de langage universel unit les blogueuses et blogueurs : l'amour du jardin. Je te fais plein plein de grosses bises !
SupprimerMDR Aline! tu commences fort 2015, bravo! En botanique, tout est très compliqué. Tiens, moi je ne sais jamais si pour le pluriel d'ail , on dit alliums, ails, ou aux car j'ai vu écrit les trois formes!!!! T'as pas un article pour ça ?? Ton arbuste mystère , pourquoi ce ne serait pas un cotonéaster comme tu dis ? le mien a les mêmes petites feuilles rondes qui rougissent avec le froid et tombent ensuite . Bises
RépondreSupprimerC'est trop drôle Maryse : c'est exactement à cause ou grâce à ail que j'ai fait ces recherches...et j'ai toujours pas trouvé la réponse satisfaisante pour les ails,aux etc.
SupprimerAlors, pour le Cotoneaster puisqu'il s'agit bien de lui, comme je l'ai dit à Gine qui l'a identifié, je ne savais pas du tout qu'il existait des variétés à feuillage caduc. Cooool, j'ai encore appris un truc ! Je progresse...En tout cas, toi, tu avais déjà bien vu ! Bravo et mille mercis pour tes passages ici : j'adore ! Tout plein de bises et à tout bientôt par chez toi !
J'avoue je n'ai pas pu lire l'exposé encadré jusqu’au bout...je n'ai pourtant pas abusé et ceci même pendant les fêtes, quelle rabat joie, de plus je suis une totale ignare en nom de plantes, mais j'ai bien rigolé, c'est toujours un plaisir de venir te lire, on a bien besoin de rire; Tu es une parfaite loca-terre en fait, j'adore les poulettes, moi elles sont dans ma cuisine. Bises ma belle
RépondreSupprimerJe crois qu'entre jardiner et faire rire, mon coeur balance. Et quand j'arrive à atteindre ces 2 objectifs, mon coeur est réjoui :-) Merci Alex pour tes compliments qui me vont droit au coeur (encore) ! Je te fais plein plein plein de grosses bises réjouies !
SupprimerBon, mon mal de crâne ne m'a pas aidée hier soir, la moitié de mon comm est parti à ... au royaume des comm perdus, lol.
RépondreSupprimerPour ta plante en dehors du cotonéaster, (s'il a des épines) je pensais à un cotinus coggyria ou arbre à perruque. J'en ai deux dans le jardin : un pourpre et l'autre vert et les jeunes feuilles sont rondes... et il n'ont pas d'épines. A voir donc si dans les années qui viennent tu n'auras pas au bout des branches des espèces de duvets. Si cela s'avère, tu peux le laisser "filer" ou alors le tailler pour le contenir en sachant cependant que les "duvets" sont au bout des jeunes branches... Ils supportent nos conditions climatiques sans problèmes et une fois installés l'arrosage est nul, le ciel y pourvoira. Pas d'amendements, je ne leurs connais pas de maladies infâmes... une plante comme nous les aimons: a admirer du bain de soleil, lol.
Bises
Je vois que tu vas mieux et sans séquelle :-) Pour la plante, tu verras plus bas et plus haut : Gine et Maryse ont trouvé !
SupprimerOuah, je vais sans doute être une des seules, mais cet article m'enthousiasme grave en me ramenant à mes folles années d'étudiante – douce époque où je me prenais des cuites d'enfer tous les soirs et où je croyais encore que je pourrais gagner ma vie en tant que correctrice (rien à voir avec le SM, quoique, il y a un petit côté masochiste dans cette profession)... En tout cas, ton cotoneaster ou pas est super joli, j'adore ces petites feuilles qui semblent délicatement flotter sur les branches nues comme une pluie de gouttelettes rouges ! Super sympa ton jardin qui nous donne un gros avant-goût de printemps, ça a vraiment quelque chose d'excitant. Merci pour ces bons moments et plein de gros bisous !
RépondreSupprimerToupti, si on avait le même âge et qu'on ait fait nos études dans la même ville, je pense qu'on aurait été super potes :-D
Supprimerviiii, viii, c'est bien un Cotoneaster que Gine a identifié d'un coup de clavier magique. Ch'uis trop contente de pouvoir mettre un nom sur cette perle...rouge ! En tout cas, je te remercie pour ton soutien dans cet article casse-gueule (voir com' de Sabina :-) ) ; ça fait du bien ! Je t'embrasse fort fort fort
Bon, j'ai toujours été nulle en français. Et l'explication de ton article est trop compliquée ou est-ce la botanique qui est trop compliquée ? ! Je vais continuer comme d'habitude : au feeling :-)
RépondreSupprimerPour le reste, ton année au jardin commence bien en couleur ! J'aime bien ta pâquerette bleue, mais chez moi, elle ne résiste pas au hivers froids et humides. Et puis, tu as encore été gatée par ta Super Michèle. J'aime beaucoup la poulette. Bises et bonne journée
En fait, même ici, la pâquerette bleue est vendue au rayon des annuelles mais celle-ci en est à son 3ème hiver. Faut dire qu'elle est en situation abritée et soigneusement paillée avec les feuilles imputrescibles du platane...Pour les histoires botaniques, c'est surtout un langage universel qu'il faudrait s'approprier mais le langage "feeling" est de loin mon préféré aussi :-) gros bisous Karine !
SupprimerEt sinon si ta pa envi 2 tfer chié, tpeux oci ecrir com lé ado d'ajd. Y's'complik pa la vie eux! Tout en fonétik! Ou presk! Bon j'avou, c chiant a traduire. Mai o moins, y's'pose pas dkestion!!! :D :D
RépondreSupprimerTrès très joli zoizo offert par Michèle! Et tu sais quoi ? You know what ??? J'ai le même à la maison! (Alors reviens Léon!) ! Vi vi vi ! Maisons du Monde est une caverne aux trésors pour les pioux...! J'te montrerai!
Je aime beaucoup beaucoup beaucoup la mousse autour du bassin! Ca dégage un charme de dingue!
Allez, j'te kiffe, j'te love, j'te bise!
Kestadi ? g pa tou compri :-D
SupprimerIntérêt que tu me montreras tes trésors de ta maison du monde...
Dis, y a de la mousse en Touraine ? Non passque quand je vais venir pour ton bassin, faudra en avoir sous la main hein ? moi aussi j'te kiffe-love-bise copain :-)
A te lire je cherchais le pluriel de os et je suis tombé sur un véritable os ! En as tu planté quelques uns ?
RépondreSupprimerLe pluriel de OS est assez singulier : c'est squelette. J'ai essayé d'en planter un (un amant, un soir où on avait inversé les râles euh...pardon les rôles) pensant qu'il se multiplierait mais....ça fait maintenant 2 ans et toujours rien qui pointe :-)
SupprimerMais j'ai trouvé cela bien intéressant! Je trouve que c'est important, l'orthographe, même s'il m'arrive de faire des erreurs. Et en botanique, on sait ainsi tout de suite de quoi on parle, me semble-t-il!
RépondreSupprimerPour ton arbuste, je pense à Cotoneaster divaricatus, réputé pour ses feuilles flamboyantes... mais il faudrait en avoir confirmation!
Quelle chance, ce jardin fleuri en janvier! Je suis sous la neige, lourde et écrasante...
Bonne soirée!
Yeaaaahhhh, t'as trouvé Gine !!!! je viens de faire des recherches et c'est tout à fait ça. Ce qui m'induisait en erreur, c'est que j'étais persuadée que les Cotoneaster étaient tous à feuillage persistant. Pour la neige, dis-toi que j'aimerais bien en voir un peu ici (1 jour ou 2) : toute la blogosphère parle tant d'or blanc pour les jardins. C'est vrai que chez moi, j'ai l'impression qu'il y a un micro climat favorable aux fleurs. Encore merci pour ton passage éclairant et à très bientôt !
SupprimerOuah... J'ai décroché en cours de lecture! Quel cours de français tu nous a fait!!!
RépondreSupprimerIntéressant malgré tout mais pas sûre d'appliquer ces règles.
Je suis encore et tjrs étonnée de voir comment tu peux mettre en valeur des plantes que je ne remarquerais pas sans toi... Très beau ce petit arbuste a petites feuilles rouges.
Les photos du bassin et du mûrier sur ton billet précède étaient superbes, il y avait une lumière particulière.
Et tu as chopé les quelques fleurs présentes en plein hiver...
Que dire de plus si ce n'est que je suis en admiration de ce que tu as fait dans ce jardin qui était inexistant il y a 4 ans...
Plein de bisous Aline
Michèle, tu sais, ce sont les petits arbustes qu'Henri a apportés...ça y est, grâce à Gine, ils sont identifiés : Cotoneaster divaricatus. Ils sont beaux toute l'année mais tout particulièrement en ce moment avec les feuilles qui "virent" au rouge orangé ! Pour les règles d'accord, laisse tomber : moi-même, je ne suis pas sûre d'appliquer à tous les coups :-) Et sinon, pour le jardin, maintenant, il ne reste plus qu'à fignoler avec une piscine et on frise la perfection :-D Non, en fait, maintenant, j'ai envie de taper de temps en temps dans LA plante de collection ; tu sais, celle qui nous laisse tous et toutes béats d'admiration. Le kif total quoi :-) Je te fais des tonnes de gros bisous !
SupprimerBen non j'ai même pas mal au cheveux ! Mais heu... je ne me rappelle déjà plus du cours... hum. Tu sais moi je ne suis pas très bottes à Annick mais plutôt escarres pins.
RépondreSupprimerToujours aussi courageuse, tu nous régales avec tes articles alors que je suis en mode flemmasse coté blog et même carrément côté jardin, j'avoue que je ne suis pas aussi motivée que l'année dernière pour désherber dans le glagla !
Des bisous je vais jardiner au lit avec un livre
Ah avant que j'oublie (faut que je reformate mon disque dur interne pour assimiler mes cours), je tiens à te dire que dans l'émission Lys et Reinette du 5 février prochain, la 1ère plage musicale nous est tout particulièrement dédicacée. Tu me diras ce que t'en penses à ce moment-là. Pour les bo tapins ou les escarnick....enfin un truc du style, je te dis franchement : j'hésite encore :-D Gros bisous et bonne lecture lit et rale ! Plein de gros bisous
Supprimerça marche ! j'attends la prochaine émission alors ;-)
SupprimerImportant ces précisions grammaticales Aline. Moi, je retiens de mes cours de latin qu'il n'y a jamais de s au pluriel ! Ravie de connaître ton blog grâce à Sophie...
RépondreSupprimerOh merci ! Et les précisions pourraient encore être creusées si j'avais accès à la convention internationale où l'on se rend compte que la botanique utilise également le grec ancien, le tout avec des règles spécifiques pour atteindre un langage universel. A très bientôt !
SupprimerMerci pour cette leçon d'orthographe des noms de plantes dans laquelle je nage toujours !
RépondreSupprimerJe nage aussi et j'ai l'impression que ce n'est pas fini ; le principal étant surtout de ne pas se noyer :-)
SupprimerMais il est où l'hiver chez vous ? Quelle chance d'avoir encore des frileuses dans son jardin.
RépondreSupprimerIl est vrai que parfois les végétaux nous font perdre notre latin !
Pour l'instant, ici, les températures les plus basses que j'ai notées c'est -3° sans que cela ne dure plusieurs jours consécutifs. Et comme certaines journées sont très douces, hop le tour est joué pour les plantes. J'ai un petit avantage aussi, c'est que le jardin est situé en périphérie directe de la ville et mine de rien, ça réchauffe :-) A ce week-end du côté de chez vous !
SupprimerTu as malmené mon pauvre cerveau avec tes histoires là, lol!
RépondreSupprimerBon, je ferai XS et puis c'est tout ;-)
Dis donc que c'est joli, on ne se croirait pas en janvier. Je suis jalouse, je veux aller dans le sud!
Gros bisous ma chère Aline.
Ne fais surtout pas cette connerie Caro ! tu le regretterais dès le mois de juin et jusqu'en octobre...Et tu sais que dans quelques décennies à peine, il n'y aura quasiment plus de jardin par chez nous. Seulement, la garrigue partout avec des arbres ratatinés, pas d'eau et des températures suffocantes. Alors, toujours envie de venir dans le sud ? Plein de gros bisous ma Belle !
SupprimerAline, le prochain fauteuil disponible à l'académie est pour toi et on t'enterrera au panthéon... Après le mal de crâne que tu m'as foutus, je suis bonne pour aller dormir 3 jours, chic ! Comme pour Sabina, je suis jalouse de vos jardins du Sud, ici, tout et gelé, enneigé, triste... bouhhhhhh Merci Aline de me faire rêver au printemps... Des grosses bises toutes fraiches...
RépondreSupprimerPar respect pour les puristes et la jeune génération, vaut mieux pas que je mette un orteil près des académiciens.... Sois pas jalouse va...Dans quelques années, bon nombre de jardins du sud disparaîtront...Je suis moi-même en recherche d'une autre terre d'accueil pour moins suffoquer l'été ! Je vais me rapprocher du Panthéon, tiens :-D Je te fais plein de grosses bises printanières de janvier !
SupprimerJe suis en retard et je ne suis même pas en état d'hibernation. Non, c'est la crue, au boulot, ça déborde à cette période, comme chaque année... Bref, ta leçon soporifique mais drôle me donne envie d'aller me coucher et j'utiliserai dorénavant les noms vernaculaires, et les beaux tanistes seront bien attrapés, na ! Les zorthographistes et les grammatologistes aussi ! Et pis j'irai planter des kasmanthium latifolium devant mon kénomelesse ! Tralalalalèèère !
RépondreSupprimerEt sais-tu quel est le comble de la jardinière ? C'est d'être dure de la feuille ! Mdr... Non, je ne me moque pas des sourds, c'est de l'autodérision. Bon, j'y vais sinon tu vas croire que j'ai trop forcé sur le buisky... Grosses bises sur les deux joues !
Ah, j'oubliais ! Quand j'ai vu ton titre j'ai cru que tu nous annonçais un régime, histoire de mieux rentrer dans ton bikini aux beaux jours... Ben c'est le contraire, c'est du bourrage de crâne ! Mdr ! Bon je file....
SupprimerJ'adore discuter par écran interposé car je suis, très précisément, dure de la feuille :-) Quand, en plus, sur mon écran, j'ai le bonheur de lire un commentaire bien déjanté, je suis la sourde la plus heureuse ! Même pô besoin de faire répéter :-D
SupprimerQuel moment excellent, tu viens de me faire passer en ce samedi matin frisquet ! Plein de grosses bises Gisou !
Dure de la feuille, sans déc ? Encore un point commun !
SupprimerNan, je déconne pas, hélas ... Je suis pas appareillée mais je suis incapable de suivre une conversation au milieu du monde. Moi, ce sont les "graves" qui se sont barrés quand j'étais gosse et le tout doublé d'un acouphène persistant. Tu comprends pourquoi' la grave", maintenant, c'est moi ! 😀
SupprimerPareil pour moi sauf que j'ai perdu les aigus. Ca a commencé à l'adolescence et maintenant il me reste à peu près 3%. Paumée dans le bruit, je hais les gens qui parlent trop vite ou dans leur moustache. Appareillée depuis 25 ans, ça ne fait pas de miracle mais ça aide. Allez ma droulette, y a pire, tant qu'on a la santé et l'humour !....
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